Archives de catégorie : Informatique

« Google Plus »

J’essaie depuis ce matin « Google+ » et commence à en être assez satisfait. C’est plus souple et plus riche que Facebook.
Il reste à ce que beaucoup de monde s’y mette, mais cela viendra: l’outil en vaut la peine. D’ailleurs de Google+ on peut envoyer des informations même à des personnes non inscrites.
Je n’ai pas encore assez mûri le sujet pour en faire une présentation détaillée, et je me contente donc de vous signaler ce nouvel outil, plein d’avenir.

Il faut pour l’instant une invitation pour pouvoir devenir membre: demandez-en moi une, et je vous l’envoie.
Vous pouvez aussi aller voir ma « page publique » http://goog.la/phl: car pour chaque billet que l’on écrit sur Google+ on peut choisir s’il est public ou non.

Et, si vous ne venez pas sur Google+, vous pouvez aussi me demander de vous inscrire dans les « cercles » auxquels je diffuserai à partir de lui!
Parlez-moi un peu de vous à cette occasion, je saurai mieux comment cibler ce que je vous enverrai (car Google+ a beaucoup de souplesse); et naturellement vous pourrez mettre fin à ces envois à tout moment.

Mieux communiquer par mel

Je viens de rassembler dans un texte une série de règles qu’il me paraît utile d’appliquer dans la communication par mel.
Je renvoie également, à cette occasion, à un texte déjà ancien sur le site « Choisis d’aimer ».

Des règles analogues figurent sans doute sur de nombreux sites.
Faites-moi part de vos remarques!

Voir le texte: « Communication par mail: les bons usages » .

Une nouvelle rubrique sur le site: « Journal »

J’ajoute sur la page d’accueil du site une nouvelle rubrique, en troisième colonne.
Elle s’intitule « Journal et lectures » . Les petites notes datées qui la composeront, complètent les divers types de billets que j’écrivais jusqu’à présent, avec une orientation plus « lectures ».
En un sens cela rejoint ce que je note sur « Delicious » et qui apparaît en colonne de droite de ce blog sous le titre « Lectures web », mais sans se restreindre à l’aspect religieux.

Les nouvelles notes dans ce « journal » ne seront en général annoncées ni par Twitter ni autrement. Vous pouvez les suivre avec l’extension « Update scanner » de Firefox ou avec les solutions RSS proposées par ce site.

Les commentaires peuvent être faits ci-après, dans ce billet de blog.

L’iPad… oui, mais pour quoi faire?

L’iPad est un objet agréable et ludique, beaucoup plus léger qu’un portable. J’en ai acheté un il y a deux mois pour découvrir ce nouveau type d’objet, et l’expérience en vaut la peine. Mais je n’en ai pas encore fait le tour, et ne peux même pas dire si, une fois la découverte passée, il me sera utile de façon habituelle !

Il est pratique. Et comme on peut faire avec lui certaines des choses que l’on fait avec un ordinateur, on s’y habitue et on s’assied dans un fauteuil ou on s’allonge, au lieu d’être assis devant son écran.
L’autre « plus » par rapport à un ordinateur, c’est l’écran tactile. Les gestes sont plus petits qu’avec une souris, et la rapidité de réaction de la machine ajoute de l’agrément. On en prend l’habitude, et je me suis surpris à approcher le doigt de l’écran du Mac!
Par contre la lecture sur l’écran est plus fatigante qu’avec un écran classique; il y a trop de reflets – on se voit d’ailleurs dedans, et ils se déplacent car on ne tient pas l’objet complètement immobile.

Comme tout débutant avec l’iPad, j’ai téléchargé des quantités d’applications gratuites, et quelques unes payantes. La plupart sont maintenant « dans un coin » de l’Ipad; je ne m’en sers pas.
Cela dit, et c’est encore un point intéressant, les applications (« apps ») sont beaucoup moins chères que sur ordinateur: le prix est souvent inférieur à un euro, et il y en a énormément de gratuites: on est comme un gosse qui pourrrait prendre tout ce qu’il veut dans un magasin de jouets, comme un boulimique devant un buffet très abondant… Et il en sort de nouvelles tous les jours!
L’une des raisons est que beaucoup de livres (Bible, oeuvres d’Aristote, guides touristiques etc.) sont proposées sous forme d’apps, au lieu de prendre place au sein d’une des applications de lecture telles que iBooks. L’iPad permet d’avoir au maximum 220 applications (11 écrans de 20), et j’en suis à 170… On peut cependant enlever de l’iPad les applications dont on se sert le moins; elles sont alors stockées sur iTunes et on pourra les réinstaller quand on voudra.

Y a-t-il des applications pour lesquelles l’iPad est mieux que le Mac? Difficile à dire. J’ai rencontré un cas assez net, une application d’apprentissage de langues (de Declan Software) qui existe aussi sur Mac et PC: l’écran tactile apporte un vrai plus. J’utilise également une petite application permettant d’écrire des notes de réflexion (« Simplenote »). L’application de Météo-France aussi est pratique. Et les cartes de géographie sont agréables à consulter, grâce à la possibilité d’agrandir en écartant simplement les doigts.

Inversement beaucoup d’applications sont assez sommaires… Ainsi Safari ne comprend pas, entre autres, de recherche au sein d’une page web. Heureusement il y a d’autres navigateurs concurrents que l’on peut installer (p.ex. Opera). Les applications de lecture de livres (iBooks, Kindle, etc.) ne comprennent guère de rangement en catégories. J’utilise le plus souvent GoodReader, en convertissant si nécessaire les livres avec Stanza sur mon Mac. On ne trouvera pas de véritable équivalent de Word (sauf en achetant « Pages », mais l’exportation de ses fichiers à partir de l’iPad est un vrai calvaire, rédhibitoire si on en croit les commentaires sur iTunes): tout au plus pourra-t-on, avec certaines apps, réaliser des mises en page simples.
Il faut découvrir peu à peu les applications utiles qui complètent la panoplie initiale fournie: ainsi « Transfer », qui permet de créer des albums photo si l’on ne souhaite pas synchroniser avec iPhoto.
Les mots de passe ne sont pas protégés; pour ma part je ne les fais pas mémoriser par l’iPad, si facile à voler.
La frappe est assez agréable et rapide une fois quelques trucs – pas évidents – bien acquis.

L’iPad a un « fil à la patte » (je parle du modèle sans puce 3G): il a besoin d’une connexion wi-fi et d’un ordinateur, un vrai, pour démarrer la première fois, et c’est aussi par câble que se font un certain nombre de synchronisations. Je vous conseille d’acheter un deuxième câble pour recharger la batterie (sur prise de courant) : contrairement à certains utilisateurs je ne suis pas impressionné par la durée de vie de la batterie, et la recharge tous les jours.
Je vous conseille surtout vivement d’acheter la « housse » vendue par Apple: sinon l’iPad glisse entre les mains et on a toujours peur de le laisser tomber; avec la housse l’iPad est au contraire très agréable à transporter.

En résumé, je voulais comprendre et explorer à fond dans quelle mesure l’iPad est ou non « l’ordinateur de demain », et aussi dans quelle mesure il est possible de l’intégrer dans une sorte « d’écosystème » avec mes autres instruments électroniques (Mac et Palm).
J’en suis encore à explorer les possibilités, pas toujours clairement indiquées, des divers logiciels…

Mais aussi à m’amuser: car l’iPad est extrêmement ludique; et par exemple une application complètement inutile comme « Tom le chat » continue à nous faire rire!

Il y a des professionnels, du dessin et de la musique notamment, qui ont fait de l’iPad un instrument de travail quotidien. Et il est sûr que la rapidité d’accès à un nombre très vaste de sujets différents (« Que dit le verset 3.7 du Coran ? », « Où se trouve Uzès? » etc.) rend l’objet, lâchons le mot, presque indispensable, et en tout cas bien pratique.

Peut-on comparer au Kindle d’Amazon? L’iPad est beaucoup plus beau, et plus polyvalent. Mais, comme indiqué dans mon billet précédent, le Kindle a plusieurs supériorités: sa légèreté, son écran sans reflet, sa longue autonomie, sa connexion internet gratuite; et c’est un objet que l’on peut facilement transporter dans sa poche. Et puis il est beaucoup moins cher.

Je n’ai pas parlé de l’iPad « 3G », ne l’ayant pas expérimenté. Les usages sont alors plus larges, puisque l’on peut notamment consulter son courrier loin de chez soi. Mais que vaut la connexion Internet, dans des lieux comme la station de montagne où je suis actuellement? Un ami – qui a une clef 3G pour son ordinateur – me dit qu’ici elle ne fonctionne pas (alors que la liaison du Kindle est bonne). Et puis c’est très cher.

Au total je vois quand même l’iPad comme un objet extraordinaire, bien que je ne sache pas vraiment ce que j’en ferai, à part le consulter occasionnellement à cause de sa rapidité, ou l’emporter pour lire, assis ou allongé, les derniers fils RSS…
C’est un peu un « outil universel », que l’on aurait sans cesse chez soi sous la main.

26.08.10 – Outil pas si universel: l’iPad est certes facile à emporter en réunion, mais on ne peut ni y mettre facilement un dossier contenant plusieurs centaines de fichiers (c’est faisable par Dropbox et GoodReader, mais pas très commode), ni recevoir une copie des fichiers des autres participants (faisable aussi, mais à condition que les autres participants installent un des logiciels de transfert compatibles avec l’iPad…) .

Côté positif: l’iPad permet de diffuser de la musique, sans écouteurs, où on veut.

Additif le 18.12.10 – Dans Safari, la recherche au sein d’une page se fait par la case de recherche sur le web, qui comporte cette option.
Additif le 25.2.11 – Opera est le seul (parmi 7 navigateurs essayés yc Safari) à permettre d’accéder à certains forums.

Additif le 18.4.11 – Depuis que la Fnac a lancé son FnacBook et surtout l’application correspondante pour iPad et iPhone, c’est à la Fnac que l’on trouve le plus grand nombre de nouveautés françaises téléchargeables. La Fnac prend ainsi, pour les livres récents, la place qu’Amazon n’a que pour les livres en anglais. L’aide de la Fnac est en partie erronée: une fois un livre acheté (à partir de l’ordinateur de bureau, c’est plus simple) il apparaît automatiquement dans l’application iPad (ou iPhone). Seule contrainte: il est en fait « lu à distance » c’est à dire accessible seulement quand on a une connexion.

27.4.11 – Pour éviter les spams, sur iPad comme sur iPhone, une très bonne solution est de passer ses comptes en IMAP au lieu de POP et d’utiliser (sous Mac) le plugin SpamSieve pour Mail: payant, mais beaucoup plus efficace que le filtre de Mail.

20.5.11 – iPad: deux applis pour s’informer.

Laissez-vous tenter par le Kindle!

Même après la sortie de l’iPad, le Kindle reste intéressant. Son usage est différent.

Le prix est peu élevé: 212 euros (tout compris); l’iPad est à au moins 500, plus divers accessoires indispensables.

Grâce à ses dimensions réduites, le Kindle tient dans une poche intérieure de blouson; vous l’emmenez partout: dans le train ou le métro, dans les salles d’attente de médecin, etc. Et il est léger: 270 grammes, contre 700 pour l’iPad.

Sa connexion permanente gratuite avec le site d’Amazon vous permet à tout moment de télécharger des livres, payants ou gratuits. J’y ai installé aussi, par connexion avec l’ordinateur, de nombreux Ebooks trouvés sur le web (voir mon billet « Le livre électronique est là! « ).
En rentrant par le train aujourd’hui, j’ai lu quelques pages d’un livre sur Simone Weil, et le début du livre de Darwin sur l’origine des espèces. Mais j’y ai aussi la cité de Dieu de Saint Augustin, l’introduction à la psychanalyse, et tant d’autres: plus de 70 livres, et la mémoire permet bien davantage.

La batterie tient 15 jours sans s’épuiser! Magnifique.

La lecture est agréable, le texte ressort clairement: surprenant; pas de reflets même en plein soleil. Mieux que l’Ipad. Mais le soir au lit il faut disposer d’un éclairage approprié.

Pour ceux qui lisent l’anglais, il est possible de télécharger des extraits gratuits de tous les livres du catalogue, soit des centaines de milliers de titres. De quoi se faire une bonne idée d’un auteur. Un dictionnaire anglais intégré très complet vous aide si vous hésitez sur un mot.

iPad ou Kindle? Je parlerai de l’iPad dans un autre billet, mais les deux produits ne sont pas dans la même catégorie. A titre d’exemple, Amazon développe en ce moment les ventes de son Kindle dans les boutiques d’aéroport. Il est tellement facile ensuite, surtout pour les anglophones bien sûr, de télécharger en quelques instants l’un des derniers best sellers et de commencer immédiatement à le lire.

Le Kindle a son domaine d’utilité et je lui souhaite longue vie!

6.08.10 – J’ajoute trois services moins connus du Kindle, et présentés comme « expérimentaux »:
– Un navigateur web basique est inclus, ce qui permet de consulter de nombreux sites web (p.ex. Wikipedia), et ceci de n’importe où!
– Il est possible d’écouter de la musique en plaçant des fichiers mp3 dans le dossier ad hoc (par connexion avec l’ordinateur); le Kindle a des haut-parleurs et une prise pour casque.
– Et enfin on peut se faire lire (« text to speech ») n’importe quel texte anglais que l’on a chargé sur la bête!

2.09.10 – Un livre acheté pour le Kindle peut aussi être téléchargé sur votre ordinateur, et sur votre iPad: suivant les heures et les lieux, vous pouvez en poursuivre la lecture sur différentes machines!
Cela dit, comme indiqué dans le texte « Ebooks, Kindle etc.« , le texte d’un livre Kindle n’est pas sélectionnable ni copiable; d’où l’astuce (Mac) que j’indique dans le texte précité.

Signez la pétition contre le projet « Masson » !

Il est rare que je m’associe à une pétition. Mais il me semble qu’en la circonstance cela se justifie.

Le sénateur Masson vient de déposer une proposition de loi visant à supprimer l’anonymat des blogueurs. Fini la « petite anglaise » ou autre caissière ou policière: vous bloguerez sous l’oeil de votre patron!

Comme l’explique Authueil, cette loi est inutile.

Et surtout, elle est liberticide!
Personnellement je blogue à visage découvert et j’indique mon adresse mel, mais beaucoup de personnes ne sont pas dans ce cas, et de toute façon cela doit rester un choix personnel.

Allez donc signer la pétition, et faites-la connaître!

Le livre électronique est là

IPad, Kindle: le livre électronique devient une réalité. Peut-être d’ailleurs ne savez-vous pas qu’il existe une application gratuite Kindle pour PC et pour Mac, et qu’on peut y lire de nombreux livres gratuits, marquer des pages avec des signets, ajouter en marge des annotations?
A l’approche de la sortie de l’IPad, j’ai cherché à faire le point sur ce qu’il est possible de faire avec ces divers outils.

Lire le texte Ebooks, Kindle etc.

Difficile mise à jour technique

Depuis hier, un certain nombre de billets du blog ont eu leurs accents remplacés par des signes cabalistiques. Tout est maintenant rentré dans l’ordre.
Cela résultait – je l’explique pour ceux qui sont techniciens du web – d’une mise à niveau de Mysql4 en Mysql5 que j’ai été amené à faire pour la base de données des articles du blog.
La priorité a été de corriger tous les billets. Heureusement, un logiciel m’y a aidé.
C’est normalement terminé.
Voici un texte où j’explique le problème que j’ai rencontré.

Lire « Difficile mise à jour Mysql5 « 

Un bouton Facebook « J’aime »

Je viens d’ajouter à la fin de chaque billet de ce blog un bouton Facebook « J’aime ».
ET je le retire le 4 mai ! (voir « PS » à la fin).
Ce bouton n’est visible que dans la présentation « un billet à la fois », et non quand on accède au blog globalement. Cliquez donc sur le titre d’un billet, et vous verrez apparaître au bout d’un instant en fin de texte, après le paragraphe « Billet écrit le.. », un bouton bleu « J’aime » et un texte précédé du « f » de Facebook.
C’est très facile sous WordPress (pour qui n’hésite pas à aller modifier les fichiers dans l’éditeur): suivre le mode d’emploi donné sur le site de Kilian Hauray.
Ainsi vous pourrez signaler à vos amis sur Facebook que vous aimez un billet de ce blog!

PS: Je retire ce bouton suite à deux articles qui semblent très convaincants sur « Media & Tech « : Facebook récupère des informations nominatives sur tout visiteur de mon blog ayant un compte Facebook, indépendamment du fait qu’il clique ou non sur le bouton « J’aime ».
C’est un suivi complet et nominatif de ce que chacun fait sur le web!
Inadmissible.

PS 2: Si on se place du point de vue du « membre » de Facebook qui ne tient pas à être ainsi « fliqué », il semble qu’une précaution simple consiste à se déconnecter (menu « compte ») quand on quitte Facebook. Ainsi normalement vous ne serez pas suivi à travers les pages qui ont ce bouton « J’aime ».

Débuter dans Facebook

Je viens de rédiger un texte destiné à expliquer aux utilisateurs de Facebook comment régler les paramètres de confidentialité, etc.
Il est vrai que c’est parfois bien caché. J’ai dû faire une recherche sur Google pour trouver où est maintenant la case à décocher pour que tout le monde ne voie pas qui sont vos amis!

Le texte, assez détaillé, s’adresse notamment aux débutants, et leur donne mon opinion sur la façon d’utiliser Facebook: à mon avis, en ne cherchant pas à avoir trop d’amis. Mais d’autres ont manifestement un point de vue différent!

Lire le texte « Débuter dans Facebook«