C’est le titre d’un livre de F.Gonseth, trouvé en librairie alors qu’il est épuisé. Magnifique réflexion sur la façon de « tenir les deux bouts » de ce dont on est convaincu.
C’est le titre d’un livre de F.Gonseth, trouvé en librairie alors qu’il est épuisé. Magnifique réflexion sur la façon de « tenir les deux bouts » de ce dont on est convaincu.
Ce texte est un petit exemple de non application de ce que j’appellerais les bonnes méthodes philosophiques; en la circonstance « prendre la partie pour le tout ». Reproche qui s’applique à nous tous.
Le dictionnaire de la langue philosophique comporte une citation intéressante sur la façon dont Ferdinand Gonseth entend le mot « dialectique ».
Ma recherche philosophique sur l’ouverture m’a amené à découvrir Ferdinand Gonseth, dont j’ai depuis lu un livre et parcouru un autre. Les principes de ce philosophe comprennent notamment la révisibilité: être prêt à réviser ses hypothèses ou postulats!
Dans un texte cité par H.-S. Gagnebin, le physicien Max Planck écrit:
Il n’est « pas du tout invraisemblable (..) qu’il se trouve (..) des êtres dont l’intelligence dépasse la nôtre d’aussi loin que la nôtre dépasse, par exemple, celle des infusoires. »
Ceci rejoint mes réflexions dans « Approches »…