C’est le titre d’un livre que je viens de lire. Son auteure, Laetitia Colombani, m’était inconnue, mais ne l’est pas de Wikipedia, en raison d’une part de son autre livre, « La tresse », qui s’est vendu à … un million d’exemplaires dans le monde, et aussi de son activité cinématographique.
« Les victorieuses » décrit – en lien avec l’histoire d’une femme qui cherche à se reconstruire – toute une galerie de femmes ayant vécu des misères profondes, très diverses. C’est au sein du « Palais de la femme », vaste immeuble de l’Armée du Salut au coeur de Paris, que nous les rencontrons. Difficile de ne pas être ému; et j’ai pensé à telle ou telle femme, mendiante, que j’ai croisée dans les rues de Paris.
L’histoire de ce « Palais de la femme » est également contée: créé vers 1920 par l’énergie considérable de sa fondatrice, qui y a laissé sa vie.
Beau livre.