« Approches « , finalement c’est quoi?

C’est en 2004 que j’ai publié le texte « Approches « , et ne l’ai guère modifié depuis.
Avec le recul, je me rends compte qu’il comprend pas moins de cinq idées force, qui dérivent pour une part les unes des autres.

Je viens d’expliciter ces idées dans un bref texte introductif.

Lire: Idées centrales du texte « Approches « 

Les commentaires sont bienvenus!

4 réflexions sur « « Approches « , finalement c’est quoi? »

  1. David

    Une philosophie ouverte devra se rapporter a l’instance de legitimite que constitue l’ensemble des penseurs en situation de dialogue et non a un systeme de pensee anterieurement propose.

  2. Ph.Lestang Auteur de l’article

    Bonjour David,
    Cette notion « d’instance de légitimité » a-t-elle une consistance?

    D’autre part il vaudrait mieux continuer cette discussion en commentaire du billet sur Ferdinand Gonseth: http://www.plestang.com/blog/2008/decouverte-de-ferdinand-gonseth

    Ou encore du billet sur la notion d’ouverture d’esprit.
    http://www.plestang.com/blog/2008/louverture-desprit-est-elle-une-question-philosophique

    Ou encore… sur le forum, qui après tout, bien que centré sur le christianisme, peut permettre certains échanges philosophiques.

    Car ce billet-ci concerne mon « approche » du christianisme, ce qui est un sujet différent.

  3. Gladys

    Je suis tout à  fait d’accord que l’on a trop longtemps utilisé dans l’Eglise et dans la catéchèse des mots qui semblent « vides » et qui ne font rien comprendre de la « bonne nouvelle ».
    Exemples : Jésus nous rachète, le sacrifice de Jésus selon la volonté de son Père ( quel tyran ce Père) et qu’il faut « reformuler » en centrant sur l’essentiel.

    Je pense que dans l’enseignement en Belgique cela a déjà  beaucoup disparu car les profs de religion de maintenant n’ont pas été éduqués dans ce langage.
    Le problème serait plutôt: croient-ils en quelque chose ou est-ce une occasion d’avoir un emploi (je suis un peu sévère).

    Mais il est vrai que les prêtres devraient se distancer de textes en les prenant au pied de la lettre car PLUS PERSONNE NE LES PREND POUR ARGENT COMPTANT- Comme les églises en Belgique sont remplies de cinquantenaires et plus…il est grand temps de les « insérer » dans notre vécu quotidien et de les faire vivre.
    Je trouve pourtant que les textes liturgiques sont déjà  plus parlants que dans les années soixante.

    Gladys/Tournesol

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